Par cohérence, vous ne retrouvez pas nos textiles AQUANATURA vendus dans la grande distribution, ni sur les sites de commerce multi vendeurs « market places » de multinationales qui échappent aux impôts dans les paradis fiscaux.
Adaptés à l’agriculture industrielle intensive et à la production standardisée de masse, ces acteurs qui usent et abusent d’emballages et de sur-emballages, mélangent les genres en proposant sous un même toit et très souvent à partir d’approvisionnements lointains, à la fois :

des textiles synthétiques issus de la pétrochimie (polyester, polyamide, élasthanne…) fabriqués avec des matières premières non renouvelables, polluantes, peu recyclables, relarguant des micro plastiques dans les rivières et les océans lors des lavages ménagers, et provoquant de l’électricité statique, parfois même des allergies…

mais aussi des textiles artificiels (viscose de bambou, lyocell issu de bois d’eucalyptus, modal issu de bois de hêtre…) obtenus par dissolution dans des bains chimiques, pour être transformés en fils de tissage et de tricotage…

ou encore des textiles naturels issus de coton conventionnel non Bio avec ou sans OGM…

et…des textiles en coton issu de l’agriculture Biologique !

Tous ces textiles viennent de très loin (Chine, Inde, Bangladesh, Népal…) et sont d’énormes sources de pollution par les gaz à effet de serre des transports aériens et maritimes, et il est même difficile d’imaginer cette quantité colossale de pollution.
Par exemple, un grand groupe de distribution Français vient d’annoncer récemment son objectif de réduire de 20 mégatonnes ses émissions de CO2 sur ses produits vendus dans ses magasins avant 2030…cela donne froid dans le dos car on ne parle ici que de réduction !.

Ces différents acteurs ne sont plus à un paradoxe près en vendant certains de leurs textiles en coton Biologique moins chers que leurs textiles équivalents fabriqués avec du coton conventionnel non Biologique…le prix prédateur passe avant le prix responsable…

Et l’imagination de la grande distribution va même jusqu’à se cacher derrière des rachats de magasins Biologiques indépendants afin d’apprendre leurs métiers, d’utiliser leurs fichiers clients, et mettre en place leurs fournisseurs d’importation, pour sortir du bois quelques années plus tard, « greenwashée » avec leurs enseignes et marques propres…